"Mal de chien" de Carl Hiaasen

Combien j'ai aimé ? 4/10
Résumé : Twilly Speers, millionnaire, ornithologue amateur, 26 ans, se met à suivre la voiture de Palmer Stoat car ce dernier vient de jeter par la fenêtre les papiers d'emballage de fast food. Twilly, écologiste acharné, s'arrête une première fois pour ramasser les ordures, puis continue à suivre la voiture de Palmer. D'autres papiers sont balancés par la fenêtre, twilly voit rouge et décide de lui administrer une correction pour lui faire comprendre l'horreur de son geste. Seulement, l'enlèvement du chien de Palmer aura des conséquences imprévues.

Mon avis : j'avais envie de lire un livre facile et simple pour le métro. C'est chose faite avec "Mal de chien".
Dès le début, je n'ai pas trop apprécié ce ton humoristique et détaché pour parler d'événements violents, mais l'enchainement de rebondissements maintient l'intérêt du lecteur et j'ai tout de même fini la lecture de ce livre.
Certains passages sont ennuyeux, l'auteur fait des flashbacks sur certains de ces personnages ou décrit les pensées vagabondes et totalement loufoques d'un personnage. Cet effet pourrait être amusant s'il n'était pas utilisé à chaque fois pour couper une scène d'action et faire monter ainsi le suspense.
En plus, le système de coupure dans l'histoire pour revenir un peu en arrière et s'intéresser à d'autres personnages m'a paru un peu lourd et dénué de finesse : il est employé du début à la fin du livre, toutes les 10 ou 20 pages...
Bref, pas de la grande littérature, du moins pour ce livre car d'autres oeuvres de l'auteur ont été portés au cinéma. Enfin... ça ne prouve rien...

Commentaires

1. Le lundi 17 avril 2006, 21:38 par gail

je ne pense pas que ce soit le meilleur livre de hiaasen, moi, j'adore ses bouquins complètement loufoques et déjantés mais qui font passer un message sur les horreurs que l'on construit en floride et l'écologie. J'avais commencé avec Miami Park...

Ajouter un commentaire

Le code HTML est affiché comme du texte et les adresses web sont automatiquement transformées.

Fil des commentaires de ce billet