"L'empire ultime, Fils des Brumes, Tome1" de Brandon Sanderson
Par Ziala le lundi 28 août 2017, 19:55 - Fantastique - Lien permanent
Mon avis : j'ai été déçue par ce livre. Quelle dommage ! ça commençait très bien avec un univers nouveau, des personnages aux capacités surhumaines rarement vues, même dans les Comix. L'ambiance un peu médiévale, tout ça, mais.... mais on tombe dans un scénario tout bateau avec des ficelles grosses comme des amarres de bateau. Quel dommage ! Et alors la fin... enfin justement, parlons-en, j'ai trouvé qu'il n'y avait pas de fin. J'ai vraiment eu la désagréable impression que l'auteur voulait me faire acheter le tome 2.
Attention spoiler :
Alors d'accord, le tome 1 se termine sur la fin d'un cycle. L'héroïne maitrise ses pouvoirs, elle a détruit le grand méchant, mais le héros est mort, il s'est sacrifié, sa légende persiste mais son corps n'a pas été retrouvé (hoouuu la grosse ficelle qui va permettre de le faire revenir dans les tomes suivants). Son amant se croit trahi par elle, et ils ne sont pas du même monde et risquent même de devenir ennemis quand le chaos règnera sur la ville, le temps que le nouvel enpire se mette en place. Bref... ça va tourner aux manoeuvres politiques et ça, ça ne m'intéresse pas.
Je m'arrête donc à la lecture de ce tome 1 qui reste agréable grâce aux caractères des personnages (quoique un peu caricaturaux par moment), et surtout l'univers avec ces allomanciens qui contrôlent les métaux pour se déplacer plus vite ou augmenter leurs sens.
Résumé : Vin est une petite voleuse comme les autres, elle essaie de se fondre dans la bande sans trop se faire remarquer pour éviter les coups. A Luthadel, la capitale toujours couverte de cendres, elle croise la route de Kelsier, le plus grand voleur de la ville. Ce dernier reconnait en elle, une grande allomancienne alors que Vin elle-même ignore ses pouvoirs magiques. Mais dans cette ville contrôlée par l'empereur et sa horde d'inquisiteurs aux yeux d'acier, les seuls allomanciens autorisés sont les nobles, pas les voleurs.